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Les portes d’Ataraxia

Un week-end de reconnexion profonde à soi

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Europe/Brussels
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Un week end de reconn​exion profond à soi

Les portes d'Ataraxia

Le temps d'un week-end, je vous propose un moment de reconnexion profonde à vous-même.

Ouvrir les portes du monde d'Ataraxia, c'est faire une pause pour se recentrer et rentrer chez soi. C'est quitter la vie quotidienne et trouver la magie qui nous enchante, c'est retrouver un état de calme intérieur, de clarté mentale, tout en se reconnectant à sa nature profonde et à ses aspirations.

​📍 à la Ferme de la Chevêche

​📅 du vendredi au dimanche 7-8-9 novembre 2025

Et si vous franchissiez une porte que vous portez en vous depuis toujours ?

À l’occasion du portail énergétique du 11/11, Je vous invite à vivre trois jours d’exploration intérieure, au cœur de la nature, entre femmes et hommes en quête de sens, de paix et de profondeur.

Ataraxia, déesse de la paix intérieure, nous guidera vers un espace d’alignement et de transformation tout en douceur.

Un lieu idéal pour se reconnecter

Plongée au coeur de la nature namuroise, la ferme de la Chevêche est un gîte inspirant dans écrin vivant entre bois et prairies, en Wallonie, un lieu magnifique, empreint d'énergie qui favorise les moments d'intimité et de justesse.

L'influence de la nature sur le bien-être

Ce séjour de 3 jours au coeur de la nature est une expérience de découverte de soi avec la force bienveillante du groupe. C'est une immersion à la rencontre de ses besoins, pour relier son corps et son esprit dans un cadre profondément serein.


Activités pour une reconnexion profonde

Les bienfaits d'un week-end de reconnexion

Pour qui ? Pour celles et ceux qui ressentent l’appel d’un changement intérieur, d’un retour à soi, d’un moment pour s’ouvrir sans se perdre, en toute  bienveillance et authenticité.

Entrez dans le monde d'Ataraxia, muse des silences profonds...

Les portes d'ataraxia

Il était une fois, bien avant les hommes et leurs royaumes de bruit, une époque oubliée où les émotions couraient libres comme des bêtes dans les forêts du ciel.

Les Dieux de l’Olympe régnaient alors sur les vents, les mers et les passions humaines. Arès faisait rugir les guerres, Éros tissait des fièvres amoureuses, et Hypnos endormait les consciences. Mais dans l’ombre des grands dieux, une présence silencieuse veillait : Ataraxia, muse de la paix intérieure.

On ne l’invoquait pas.

On ne la priait pas.

Mais parfois, elle apparaissait.

Elle ne parlait pas. Ses lèvres frémissaient à peine, et pourtant, quand elle entrait dans un cœur, tout s’y déposait comme une pluie douce sur un feu ancien. Les pensées cessaient de courir. Les regrets se taisaient. Le souffle s’élargissait.

Ataraxia vivait entre les mondes. On la disait fille d’Hermès et de Nyx : messagère du silence, née de la nuit. Sa demeure était une grotte de lumière douce, ouverte sur tous les horizons. Elle n’y enfermait rien. Elle y révélait tout.

Un jour, un jeune homme nommé Caelis, égaré par l’orgueil de ses conquêtes, vint frapper à sa porte. Il avait tout connu : l’extase de l’amour, l’ivresse de la victoire, les plaisirs et les douleurs, mais il n’avait jamais trouvé ce qu’il cherchait depuis toujours : la paix.

"J’ai tout pris, j’ai tout reçu ! " dit-il, "et pourtant je suis vide. Enseigne-moi, Déesse !"

Ataraxia ne répondit pas. Elle lui tendit une coupe remplie d’eau.

Caelis la but. Rien ne se passa.

Puis, elle l’invita à s’asseoir. Un jour passa. Puis un autre. Il voulut parler. Elle ferma les yeux. Il voulut fuir. Elle ouvrit les bras. Alors,une résistance en lui, céda. Pas un os, pas une pensée, mais un attachement. L’idée qu’il fallait « atteindre » quelque chose.

Il resta.

Chaque jour, elle lui montrait le vent dans les feuilles, le reflet du ciel sur l’eau, le souffle dans la poitrine. Et peu à peu, ce qu’il croyait être vide devint présence. Ce qu’il fuyait devint refuge.

Après quarante nuits, il dit :" Je ne suis plus en guerre avec moi."

Alors Ataraxia s’inclina. Elle avait accompli son œuvre.

On raconte que depuis ce jour, elle se tient cachée dans le cœur de ceux qui cessent de lutter pour commencer à écouter. On dit que son nom murmure doucement quand on respire pleinement, quand on regarde un enfant dormir, quand on marche sans but et qu’on sent, soudain, que l’on est déjà là.

Elle ne donne rien.

Elle n’ajoute rien.

Elle ôte le superflu.

Et c’est ainsi qu’Ataraxia, déesse silencieuse et muse oubliée, continue d’enseigner la plus rare des victoires : celle de la paix sur soi-même.

 

“Les Portes d’Ataraxia ne s’ouvrent pas vers l’extérieur, mais vers un lieu silencieux où tout devient simple et juste.”

Prix : 337 euros pour les ateliers, les repas et les 2 nuits en chambres partagées. ( 4-3- 2 personnes)

Le nombre de place est limitée – réservez dès maintenant